Je ne te vois plus nul part, sauf quand je ferme les yeux Toujours difficile d’aborder un album de Sufjan Stevens. L’homme fatigue autant qu’il me fascine. Et pourtant, je l’adore ce beau brun. Il y a d’abord la fâcheuse manie de l’américain à trop en faire, que cela soit dans les concepts d’albums (je…
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